La critique littéraire du vendredi
car, le vendredi, on lit !
Ce vendredi, pour inaugurer cette nouvelle rubrique, je vous propose un roman d’analyse sémantique portant sur l’antrophologie philosophique.
Dans « anthropologie philosophique », le terme « anthropologie » renvoie à son sens général et premier de « science de l’homme » (du grecanthropos = homme et logos = science, connaissance).
Non, je plaisante.
Par contre, si ce sujet vous interesse, cliquez sur le lien au-dessus. Il vous renvoie sur un article captivant.
Nous allons parler du livre de
J.M. ERRE « La fin du monde a du retard! »
Je vous présente aujourd’hui un roman de J.M. ERRE, auteur de talent aliant l’imagination, le suspense et l’humour dans chacun de ses ouvrages.
Trame du roman :
Julius et Alice, tous les deux amnésiques, s’échappent de la clinique psychiatrique où ils sont hospitalisés.
Julius se sait investi d’une mission mondiale : il doit déjouer un complot qui menace l’humanité tout entière. Sans lui, plus de Terre.
Poursuivis par la police, des journalistes et de mystérieux personnages, ils vont de péripétie en péripétie, de découverte en découverte, de catastrophe en catastrophe, de rebondissement en rebondissement, jusqu’à l’incroyable coup de théatre final.
Critique :
Livre très drole, un brin absurde, excellement bien écrit, glissant quelques vérités sur les théories du complot qui fleurissent dans toutes les sociétés et amplifiées par Internet.
A découvrir d’urgence. Ce livre vous détendra les zygomatiques et musclera vos neurones sans effort.
Un vrai livre du vendredi !
Du même auteur , découvrez :
- Prenez soin du chien
- Le mystère Sherlock
- Made in China
- Série Z
Sur ce, à vendredi prochain pour une nouvelle critique littéraire !
Bonne découverte, bonne immersionet bonne lecture !
TweetChaque lecture est un acte de résistance.
Daniel Pennac
5 commentaires
[…] Ni un roman autobiographique ni un polar, ni un roman d’anticipation. […]
[…] littérature recèle des merveilles que je n’ai pas encore […]
[…] la première critique portant sur « La fin du monde a du retard » puis la deuxième avec le roman de Pierre Bordage, orienté science-fiction, […]
[…] la première critique portant sur « La fin du monde a du retard » puis la deuxième avec le roman de Pierre Bordage, et le troisième racontant l’épopée […]
Une belle surprise pour moi! Il vaut le détour, c’est sûr.